Opinion de M.C.F. Oudot, député de la Côte-d'Or à l'Assemblée nationale, prononcée dans la séance du 25 juin 1792, l'an quatrième de la liberté : sur le mode de constater les naissances, avec des réflexions sur nos vieilles institutions, sur la barbarie des préjugés qui flétrissent les enfans appelés batards, sur la conséquence de ces préjugés, et sur la nécessité et les moyens de les anéantir
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Opinion de M.C.F. Oudot, député de la Côte-d'Or à l'Assemblée nationale, prononcée dans la séance du 25 juin 1792, l'an quatrième de la liberté : sur le mode de constater les naissances, avec des réflexions sur nos vieilles institutions, sur la barbarie des préjugés qui flétrissent les enfans appelés batards, sur la conséquence de ces préjugés, et sur la nécessité et les moyens de les anéantir
De l'Imprimerie nationale, [1792]
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References: Martin & Walter, Révolution française, Auteurs, 26121
